﹝salem — sooner or later, the fire dies down. ⊹ ࣪ ˖ ﹞

salem — aux âmes vagabondes qui y avaient été chassées. il y avait été un éclair de divinité, lorsque de l'autre côté de la terre, li zhuo était née, poupée éclairée par les étoiles d'une galaxie désormais éteinte.

et il n'y avait eu à blamer que les bourses qui s'étaient effondrés pour rayer à tout jamais les huang d'la carte milionnaire.

c'était là, qu'elle était née, la sorcière, lorsque d'un instant, la gachette n'avait laissé que des fantômes habités la maison — celle d'une mère ayant abandonné et celui d'un père chassant en vain son ombre oubliée dans les missives écrites sous les fumées d'effluve.

il n'y avait plus qu'elle, salem, lorsque son corps gisait sur le canapé d'ce nouvel appartement américain. il n'y avait plus qu'elle, quand atlas abandonnait déjà la réalité, et courait au travers des rues de détroit.

vingt-trois étés, devenus hivers, ternissant les traits immaculés de la poupée tantôt disparue. on les avait compter, les années, sur les doigts, puis sur les traces laissées par les années et leurs brûlures forcées. il y en avait eu cinq de bafouées, par la connerie de vouloir retrouvée la voie lactée, de vouloir écrire l'histoire à sa façon — mais on avait eu besoin de la sauver, la fée, de détruire les dernières parcelles de folie, pour retrouver la gamine annihilée.  

hangzhou, laissé derrière, comme la capitale de son enfer — ils y avaient été créé, les souvenirs qui s'étaient détruit, effacé, et enterrés. elles y avaient été créé, les flammes, qui l'avaient laissée brûlée, la chair à vif, le coeur émietté par les souvenirs. perséphone avait tout laissé derrière, pour écrire un chapitre bien moins noirs que ceux écrits dans ces contrées désormais bien trop lointaine. ( chine )

de ces étreintes, où elle n'y trouvait que la pureté de bras aimant comme ami, de ce sentiment là, gisant au creux de ce tissu nodal, qu'animait l'myocarde silencieusement, sans que mots ne soient prononcés, sans que mots ne soient écrits comme contrat signé. il portait un nom — ce silence : nemrod, comme le prince interdit, comme celui qu'on considérait comme un être particulier, sans que de nom soit posé. alors, on ne savait pas trop — on ne comprenait pas, comment le lutin avait réussi à émietter dans le coeur trop pollué les prémices d'émotions oubliées ; parce qu'elle ne laissait personne s'approcher — elle ne laissait personne la tuer. parce que c'était l'amour qui avait tué maman. et c'était l'amour qui tuait papa à petit feu. ( célibataire )

affligeante folie qu'c'était,
d'avoir osée poser les pupilles
dans cette voie lactée trop grande pour elle.

to be written.

lucid dream.